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- Raja J. Chelliah
(International Monetary Fund)
- Hessel J. Baas
(International Monetary Fund)
- Margaret R. Kelly
(International Monetary Fund)
Abstract
The major results of a study of tax ratios and tax effort in developing countries, undertaken by the Fund's Fiscal Affairs Department, were reported in a paper published in "Staff Papers," July 1971. That paper attempted to measure the relative tax effort in a sample of developing countries for the period 1966-68. For this purpose, regression analysis was used to quantify the influence of objective conditions and economic factors on the tax ratio so that the residuals could be used with proper adjustments to construct indices of relative tax effort. This paper updates the earlier study using data for the period 1969-71 for 47 out of the 50 countries that were included in the previous study. The most interesting general conclusion of this study is that the estimated coefficients of the explanatory variables in the alternative equations explaining the tax ratio do not differ greatly from those in the corresponding equations for the earlier period, thereby adding to the degree of confidence in the results of the analysis. Also, in general, the ranking of countries with respect to tax effort in the two periods does not differ markedly. Although countries with tax ratios above average usually have tax indices that are higher than unity, there are differences in the two rankings: of the 12 countries with tax ratios greater than 19 per cent, only 6 are among the 12 countries with the highest tax effort indices. In spite of the general increase in tax ratios in developing countries, the average level of taxation in these countries is still considerably less than in the developed countries--15.1 per cent (excluding social security contributions) in developing countries, compared with 26.2 per cent for 16 developed countries in Europe and North America. The differences between developing and developed countries are greater if total taxes are defined to include social security contributions. As would be expected, the composition of taxes in the period 1969-71 is not very different from that for 1966-68, with taxes on international trade constituting the largest share of total taxes, followed closely by taxes on production and internal transactions and then by income taxes. The difference in overall tax ratios between sample countries in the upper and the lower half of the income scale arises primarily from differences in the proportion of gross national product that the two groups raise through income taxation. (Of course, mineral production has a favorable impact on income taxes and, hence, on overall tax ratios.) On a regional basis, average tax ratios range from 17.9 per cent for countries in the Middle East and North Africa to 12.9 per cent for those in Asia and the Far East. The former group of countries has higher than average income taxes (owing mainly to mineral production) and taxes on production, while the latter countries have the lowest ratio of income taxes. The percentage variation between countries is least for import taxes. /// Les résultats principaux d'une étude du rapport des impôts au PNB et de l'effort fiscal dans les pays en développement entreprise par le Département des finances publiques du Fonds ont paru dans un article publié dans "Staff Papers," en juillet 1971. Dans cet article, on s'efforçait de mesurer l'effort fiscal relatif dans un échantillon de pays en développement pendant la période 1966-68. A cet effet, l'analyse de régression était utilisée pour quantifier l'influence des conditions objectives et des facteurs économiques sur le rapport des impôts au PNB afin que les données résiduelles puissent, compte, tenu d'ajustements adéquats, servir à élaborer des indices de l'effort fiscal relatif. Le présent article met à jour l'étude antérieure en utilisant les chiffres de la période 1969-71 pour 47 des 50 pays qui figuraient dans l'étude antérieure. La conclusion générale la plus intéressante qui se dégage de cette étude est la suivante: les coefficients estimés des variables explicatives dans les différentes équations qui expliquent la pression fiscale ne diffèrent pas sensiblement de ceux des équations correspondantes pour la période antérieure, ce qui donne aux résultats de l'analyse un degré de confiance plus élevé. Il est également intéressant de relever qu'en général, le classement du pays en ce qui concerne l'effort fiscal au cours de ces deux périodes ne diffère pas sensiblement. Bien qu'en général dans les pays où le rapport entre les impôts et le PNB est plus élevé que la moyenne, l'indice de l'effort fiscal soit supérieur à l'unité, on constate des différences considérables entre les deux classements: c'est ainsi que sur les 12 pays dont le rapport entre les impôts et le PNB est supérieur à 19 pour 100, 6 seulement figurent parmi les 12 pays dans lesquels l'indice d'effort fiscal est le plus élevé. Malgré l'élévation générale du rapport impôts/PNB pour les pays en développement, le niveau moyen de l'imposition dans ces pays est encore considérablement inférieur à celui qui existe dans les pays industrialisés -- 15,1 pour 100 (à l'exclusion des cotisations à la sécurité sociale) dans les pays en développement, comparé à 26,2 pour 100 pour 16 pays industrialisés d'Europe et d'Amérique du Nord. Les différences entre les pays industrialisés et les pays moins développés sont encore plus frappantes si l'on comprend les cotisations à la sécurité sociale dans l'ensemble des impôts. Comme on peut s'y attendre, la composition des impôts de la période 1969-71 ne diffère pas sensiblement de celle de la période 1966-68, les taxes sur le commerce international constituant la partie la plus importante de l'ensemble des impôts, suivies de près par les taxes à la production et sur des transactions intérieures et les impôts sur le revenu. La différence du rapport global entre les impôts et le PNB entre les pays de l'échantillon occupant la partie supérieure et la partie inférieure de l'échelles des revenus provient, en premier lieu, des différences de la proportion du PNB que ces deux groupes de pays reçoivent de l'imposition des revenus. (Naturellement, la production minière exerce une influence favorable sur les impôts sur le revenu et, par conséquent, sur les rapports globaux entre les impôts et le PNB.) Sur une base régionale, les rapports moyens entre les impôts et le PNB vont de 17,9 pour 100 dans les pays du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord à 12,9 pour 100 dans ceux d'Asie et d'Extrême-Orient. Le premier groupe de pays a des impôts sur le revenu plus élevés que la moyenne (en raison principalement de la production minière), de même que des taxes à la production plus élevées que la moyenne, alors que le dernier groupe de pays a le rapport le plus faible d'impôts sur le revenu. Le pourcentage de variation entre ces pays est le plus faible dans le cas des taxes à l'importation. /// Los principales resultados de un estudio de los coeficientes y el esfuerzo tributarios en los paÃses en desarrollo, realizado por el Departamento de Finanzas Públicas del Fondo, se describieron en un artÃculo publicado en "Staff Papers," de julio de 1971. En dicho artÃculo se trató de medir el esfuerzo tributario relativo en una muestra de paÃses en desarrollo en el perÃodo 1966-68. A ese fin, se utilizó el análisis de regresión para cuantificar la influencia de condiciones objetivas y factores económicos en el coeficiente tributario, de forma que los residuos pudieran utilizarse, con los debidos ajustes, para calcular Ãndices del esfuerzo tributario relativo. El presente trabajo actualiza el estudio anterior, utilizando datos del perÃodo 1969-71 para 47 paÃses de 50 que se incluyeron en el estudio anterior. La conclusión general más interesante del estudio consiste en que los coeficientes estimados de las variables explicativas de las ecuaciones alternativas que explican el coeficiente tributario no difieren mucho de los de las correspondientes ecuaciones en el perÃodo anterior, lo cual aumenta el grado de confianza en los resultados del análisis. Conviene indicar asimismo que en general el orden de los paÃses con respecto al esfuerzo tributario en ambos perÃodos no difiere notablemente. Si bien los paÃses con coeficientes tributarios por encima de la media tienen normalmente Ãndices tributarios mayores que la unidad, las diferencias en el orden con relación a ambos criterios siguen existiendo: de los 12 paÃses con coeficientes tributarios superiores al 19 por ciento, sólo 6 se cuentan entre los 12 paÃses con los Ãndices de esfuerzo tributario más altos. Pese al aumento general de los coeficientes tributarios en los paÃses en desarrollo, el nivel medio de tributación en estos paÃses sigue siendo bastante menor que en los paÃses desarrollados --15,1 por ciento (excluidas las contribuciones a la seguridad social) en los paÃses en desarrollo, en comparación con 26,2 por ciento en 16 paÃses desarrollados de Europa y América del Norte. Las diferencias entre los paÃses en desarrollo y los desarrollados son mayores si en los impuestos totales se incluyen las contribuciones a la seguridad social. Como era de prever, la composición de los impuestos en el perÃodo 1969-71 no es muy diferente de la de 1966-68, es decir, que los impuestos sobre el comercio internacional constituyen la parte mayor de los impuestos totales, seguidos de cerca por los impuestos sobre la producción y las transacciones internas, y luego por los impuestos sobre el ingreso. La diferencia en los coeficientes tributarios totales entre los paÃses de la mitad superior y los de la mitad inferior de la muestra en términos de ingreso proviene principalmente de las distintas proporciones del producto nacional bruto que ambos grupos obtienen mediante el impuesto sobre el ingreso. (Naturalmente, la producción minera tiene un impacto favorable en los impuestos sobre el ingreso y, por tanto, en los coeficientes tributarios totales.) Sobre una base regional, los coeficientes tributarios medios fluctúan entre el 17,9 por ciento en los paÃses del Oriente Medio y Africa del Norte y el 12,9 por ciento en los paÃses de Asia y el Lejano Oriente. El primer grupo de paÃses tiene impuestos sobre el ingreso (debido ante todo a la producción minera) y sobre la producción más altos que el promedio, mientras que el segundo grupo de paÃses tiene la menor proporción de impuestos sobre el ingreso. La variación porcentual entre paÃses es mÃnima con respecto a los impuestos a la importación.
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