Use and Acceptance of Reserve Claims (Utilisation et acceptation des créances de réserve) (El uso y aceptación de los activos de reserva)

Cette étude examine les problèmes qui se poseraient vraisemblablement à propos de l'utilisation et de l'acceptation de tout instrument de réserve qui pourrait être délibérément créé sous forme de créances sur un organisme international ou sur un agent international représentant un groupe de pays. Elle met en évidence les difficultés qui se présenteront, si les nouvelles créances de réserve sont librement transmissibles, dans le cas où leur acceptation contre de l'or et des monnaies serait entièrement facultative à des taux librement établis et dans le cas où elle serait obligatoire sans limitation de montant à des taux fixes. L'étude examine ensuite les conséquences éventuelles d'une discipline consentie en matière de transferts et montre qu'il serait nécessaire d'apporter certaines limitations à l'obligation d'accepter les créances de réserve transmises par d'autres pays membres. Elle laisse entendre que, même avec ces deux catégories de restrictions, il faudrait probablement soumettre la circulation des instruments à certaines directives arrêtées en commun. Les problèmes que poserait cette orientation collective de la transférabilité sont brièvement évoqués. L'analyse étudie également une autre solution possible du problème qui ferait intervenir une certaine proportionnalité fixe entre les créances de réserve et les autres catégories d'instruments, sous forme soit de rapport de détention, soit de rapport de transfert. Elle conclut qu'un système de transférabilité orientée permettrait de mieux concilier les intérêts des cédants et des cessionnaires. /// Este trabajo expone los problemas que probablemente surgirían con motivo del uso y aceptación de cualquier activo de reserva que pudiera crearse deliberadamente en forma de crédito contra una institución internacional o un agente que actúe por un grupo de países. Pone de manifiesto las dificultades que surgirían si, existiendo entera libertad para transferir los nuevos activos de reserva, su aceptación contra oro y divisas fuera bien puramente voluntaria y según tipos de cambio libremente determinados, o bien obligatorio en cantidades no determinadas y a tipos de cambio fijos. Luego examina los efectos que produciría el coartar la libertad de transferencia y señala la necesidad de fijar ciertos límites a la obligación de aceptar transferencias de activos de reserva ofrecidos por otros países miembros. Sugiere que a pesar de estas dos clases de limitaciones, quizá se necesite también cierto grado de orientación colectiva en lo que respecta a encauzar la transferencia, y discute sucintamente los problemas que ello originaría. Este artículo examina además otra manera de abordar el problema, según la cual las tenencias--o, alternativamente, las transferencias--de activos de reserva deberían guardar una proporción fija con las tenencias o transferencias, respectivamente, de las otras clases de reservas. La conclusión a que llega es que el sistema de transferencias orientadas es el que mayores probabilidades ofrece de mantener más o menos a un mismo nivel las ventajas para los transferentes y para los cesionarios.